Cet essai, dont le sous-titre pourrait être Polynésie et psychanalyse, a déjà une histoire. Terminé en février 1989, il fut refusé par plusieurs publications locales. Il circula alors « sous le paréo » et suscita toutes sortes de lectures qui allèrent de l'adhésion à l'antipathie déclarée en passant par la réprobation amicale. Quelques vétos me furent discrètement opposés comme si nos îles fussent encore trop immatures pour entendre ce discours. Mais il s'agit ici d'une tendre provocation, d'une simple esquisse de la vie d'hommes et de femmes qui naviguent sur une île et de l'espoir en une coexistence plus pacifique encore.
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