Un conseil à suivre à la lettre. Prendre dans ses bagages une paire de méduses, ces chaussures en plastique moulé, à l’origine translucide (d’où l’appellation) et que l’on trouve désormais déclinées dans toute la gamme de l’arc en ciel.
On les portera en rentrant dans l’eau du lagon qui peut s’avérer dangereuse pour peu que l’on ne prend pas garde à certaines précautions. Le poisson pierre est une variété de rascasse, enfouie dans le sable. Si l’on marche dessus, on peut se faire piquer par ses épines dorsales, venimeuses.
Les coraux vivants peuvent causer des accidents. Les polypiers des madrépores ont des arêtes très tranchantes. Le polypier est le squelette calcaire, recouvert par une colonie de polypes. Si l’on se blesse sur des coraux, désinfecter la plaie au plus vite, avec de l’alcool ou du citron vert si l’on n’a pas de trousse de soins, le mieux étant la bétadine. Les cellules des madrépores trouvent un terrain favorable dans nos chairs et continuent à proliférer, à vivre, en somme dans la peau. Une blessure mal guérie peut s’infecter et s’approfondir jusqu’à l’os. Risque de septicémie. Consulter rapidement.
Certains coquillages sont également dangereux, voire mortels. Bien que rares, ces accidents sont souvent dûs à l’ignorance du milieu. On n’est pas piqué parce que l’on a marché sur un cône, mais parce qu’on l’a cherché dans le sable ! Les Polynésiens les débusquent par les traces rectilignes qu’ils laissent au fond de l’eau. Les cônes possèdent une trompe qui peut projeter des pointes empoisonnées, s’ils se sentent mis en danger. On veillera à les prendre prudemment entre 2 doigts sur la partie renflée du coquillage, là, aucun danger. Les pointes sont décochées par le bout effilé. On ne mettra jamais non plus un cône vivant dans sa poche pour des raisons évidentes.
On les portera en rentrant dans l’eau du lagon qui peut s’avérer dangereuse pour peu que l’on ne prend pas garde à certaines précautions. Le poisson pierre est une variété de rascasse, enfouie dans le sable. Si l’on marche dessus, on peut se faire piquer par ses épines dorsales, venimeuses.
Les coraux vivants peuvent causer des accidents. Les polypiers des madrépores ont des arêtes très tranchantes. Le polypier est le squelette calcaire, recouvert par une colonie de polypes. Si l’on se blesse sur des coraux, désinfecter la plaie au plus vite, avec de l’alcool ou du citron vert si l’on n’a pas de trousse de soins, le mieux étant la bétadine. Les cellules des madrépores trouvent un terrain favorable dans nos chairs et continuent à proliférer, à vivre, en somme dans la peau. Une blessure mal guérie peut s’infecter et s’approfondir jusqu’à l’os. Risque de septicémie. Consulter rapidement.
Certains coquillages sont également dangereux, voire mortels. Bien que rares, ces accidents sont souvent dûs à l’ignorance du milieu. On n’est pas piqué parce que l’on a marché sur un cône, mais parce qu’on l’a cherché dans le sable ! Les Polynésiens les débusquent par les traces rectilignes qu’ils laissent au fond de l’eau. Les cônes possèdent une trompe qui peut projeter des pointes empoisonnées, s’ils se sentent mis en danger. On veillera à les prendre prudemment entre 2 doigts sur la partie renflée du coquillage, là, aucun danger. Les pointes sont décochées par le bout effilé. On ne mettra jamais non plus un cône vivant dans sa poche pour des raisons évidentes.
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